Ma vie de soumise bi

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il y a 6 ans

Ma vie de soumise bi

Par La courtisane

Un samedi après midi, je me dirige tranquillement vers le supermarché près de chez moi pour faire mes courses. Je suis habillée en jupe porte feuille, un chemisier et un petit gilet, tout simplement. En revanche comme à mon habitude je n’ai pas de sous vêtements. J’aime cette petite sensation de l’air qui s’engouffre sous mes vêtements et me rafraîchit le sexe, ainsi que le frottement du linge sur mes tétons. Ces différentes sensations obligent mon corps à réagir, je suis donc en permanence les tétons érigés et le sexe légèrement humide.

Je déambule donc dans le magasin, mettant divers choses dans mon caddie, lorsque légèrement penchée au dessus d’un congélateur, je sens une main s’insinuée sous ma jupe et allée directement vers mon sexe, et une voix que je reconnaîtrais parmi des milliers, la votre maitresse.

  • Alors ma soumise, on a encore oublié de mettre une culotte ??? Mais tu es trempée en plus on dirait ?

  • Oui madame !!!!

Après quelques mouvement à l’intérieur de ma chatte, vous retirez votre main, je me retourne pour vous regardez dans les yeux et vous sourire. Je suis en joie de vous voir. Vous portez vos doigts à votre nez, vous appréciez mon odeur et vous me tendez vos doigts à lécher. Je m’empresse de vous nettoyer, je suce longuement et lentement vos doigts si délicats. Je me délecte de mon gout sur votre corps. J’en ai totalement oubliée que nous étions visible de tous, et je m’excite comme si vous alliez me prendre là devant tout le monde.

  • Nous allons t’acheter des sous vêtements pour que tu excites Michel ce soir !!! Rejoins-moi au niveau des cabines d’essayages et attends-moi que je choisisse avant !!!

  • Bien madame !!!

Je finis mes courses vite fait et me précipite vers le rayon des vêtements. Je vous attends sagement, trépignant d’impatience, comme une e n f a n t qui attend son cadeau. Je vous vois revenir les bras chargés de culottes, soutifs et autres accessoires.

  • entre la dedans et fous toi a poil !!! on n’a pas toute la journée !! Et laisse le rideau ouvert que je te vois !! on le fermera quand je rentrerais !!

Je rentre donc dans la cabine handicapée, me déshabille au plus vite et me retrouve nue devant vous. Je pratique donc tous les essayages que vous me présentez en m’appliquant à bien vous montrer mon cul et mon sexe ouvert à chaque occasion. Je vous excite je le vois, mais je vous avouerais que moi également je n’en peux plus, mon sexe est trempée et je ne pense qu’a une chose : vous. Je fais de plus en plus de trace sur les culottes que j’essaye.

Lorsque vous avez choisi le bon, je vous vois vous approchez et entrais dans la cabine. Mon cœur s’emballe, j’espère avoir le droit à quelques attouchements de votre part. Vous avez choisi un ensemble porte jarretelle, string et soutien gorge, pourpre et noir.

  • Enlève l’ensemble que je l’essaie aussi, déshabille moi !! Et profites en pour me lécher un peu, mais fais vite je suis pressée !!!!

Je m’exécute rapidement, je vous mets nue et vous observe, j’aime votre corps, j’aime vos tétons pointus et j’aime vos fesses et votre sexe, sans parler de vos jambes et de votre ventre. Je retire l’ensemble et vous le tend, j’en profite pour vous caresser les seins et les mordiller. Je m’applique à vous faire un cuni pendant que vous essayer le soutien gorge. Vous me chassez gentiment pour enfiler le string.

Il vous va à ravir, vous décidez d’en acheter deux et de faire la surprise à Michel pour qu’il nous fasse l’amour habillé de la même manière. Vous me fixez rendez vous dans deux heures chez vous, le temps que je me prépare et que je range mes courses, je devrais être vêtue de cet ensemble au dessous d’un tailleur.

L’heure dite je suis à la seconde près devant votre porte entrain de sonner. J’entends votre voix m’invitant à rentrer. Et là je suis surprise !! Vous êtes dans le salon, Michel est nu et vous êtes en sous vêtement en train de le sucer avec vigueur. Il bande dur et vous vous déchainez sur cette belle tige. Vous vous retournez et me dites :

  • J’ai pas pu attendre ton arrivée, il bande comme un malade depuis que je lui ai raconté notre aventure de tout a l’heure !! qu’est ce que tu attends ? montre lui et ramène toi !!

Vous replongez de plus belle sur sa queue, je suis obnubilée par votre savoir faire, on voit que vous aimez cela. Je retire doucement mon veston puis laisse tomber ma jupe au sol, en regardant cette magnifique bite, sous votre regard et celui de Michel. Je retire mon soutien gorge doucement, je ne garde que le porte jarretelle, le string et mes talons et m’approche de vous. Je me mets à 4 pattes et avance vers cette magnifique bite. Le temps de réduire la distance vous avez arrêtez votre fellation et avez commencé une masturbation pour me la tendre. Je me jette dessus comme une m o r t de faim, je me l’enfile direct au fond du gosier, puis me mets à la savourer un peu plus. A peine l’ais je sortie de ma bouche que vous l’enfoncez dans la votre. Nous mettons à le sucer à deux. Nous jouons avec, nous donnons des coups de langues sur son gland, nous suçons alternativement, vous le masturbez de temps à autre avec la main pendant que je garde la bouche ouverte autour de son gland, je lui suce les boules, les aspire pendant que vous léchez tout le long de cette hampe majestueuse. Nous le regardons, il est aux anges, il nous caresse la tête. Souvent nos langues se croisent, se touchent, nous échangeons un baiser en gardant sa bite entre nous. Ma chatte est en feu et je suppose la votre aussi.

Vous me jetez par terre, sur le dos et vous retirez votre string et venez vous s’assoir sur mon visage. Je vous lèche comme jamais, pendant que vous gardez votre homme en bouche. Je savoure votre gout, je lèche vos lèvres, passe ma langue dans votre sillon, je bois a votre source. Je mordille votre clito. Michel se retire de votre bouche mais vous demande de rester le buste sur le canapé. Il s’agenouille près de ma tête, je continue à vous lécher malgré le rapprochement de son sexe. Il vous prend direct, s’enfonce en vous comme dans du beurre. Il vous baise en levrette à 2 cm de mon visage, je ne peux me contenter que de vous léchez le clito comme je peux et je m’aide d’une de mes mains pour vous le frotter également.

Vous baisez comme si je n’étais pas là, Michel vous défonce comme jamais, vous retirez votre soutif et vous pincez les tétons comme une furie, vous gémissez très fort. Puis Michel se retire et me baise la bouche comme il baisait votre chatte. Puis il retourne de plus belle dans votre belle cavité. Il alterne ainsi plusieurs minutes. Mais lorsqu’il passe trop de temps dans ma bouche à votre gout vous lui dites :

  • Baise-moi mimi, tu la baiseras après cette chienne !!!

Après quelques aller retour ainsi, vous décidez de vous allongez tous les deux sur le coté, Michel se glisse derrière vous et reprend l’usure de votre chatte, vous gémissez de plus belle. Je me relève alors et m’approche de vous et me place devant vous madame a genou. Je me penche et vous embrasse, je vous caresse les seins, parfois je les suce. Je fais passer soit ma main, soit ma bouche sur votre corps. Je vous regarde jouir sous les coups de plus en plus vifs de Michel. Vous êtes magnifiques dans la jouissance. Lors d’un passage de ma bouche sur votre mon de venus, Il se retire et vous appuyez madame sur ma tête pour me faire comprendre de le prendre en bouche, et vous m’imposez le rythme et la profondeur de la fellation que je lui procure. Puis une fois que vous en avez assez vous me le faites comprendre en me tirant par les cheveux. Je retourne directement vous roulez une pelle. Ce mélange de cyprine de bave et de gout de bite dans notre bouche vous excite autant que moi.

Michel est passé en mode grande vitesse, moi je vous frotte le clito avec ma main, vous criez de plus en plus fort. Tout d’un coup vous jouissez en poussant un énorme cri. Puis tout se calme, Michel prend un rythme doux, surement pour ne pas venir et faire retomber son plaisir. Vous appréciez votre plaisir en m’embrassant.

Michel se retire de vous et se mets sur le dos, vous me faites signe d’y aller. Je me lève, tourne le dos à son visage, passe une jambe au-dessus de lui et m’accroupie doucement pour qu’il voit bien ma chatte et mon trou du cul. Puis je m’empale doucement sur sa belle bite. Je commence à faire des mouvements de haut en bas, et lui également. Nous trouvons un rythme commun et le plaisir monte en moi. Vous vous rapprochez de nous et m’embrassez les seins. Je vous regarde dans les yeux pendant que votre mari me défonce la chatte. Au lieu d’être penchée vers l’avant, je me redresse et positionne mes mains sur son torse pour vous laisser un accès plus facile à ma poitrine. Votre homme se déchaine en moi, je sens sa bite bien profondément et rapidement. Mon souffle s’accélère, j’halète. En plus votre main n’as de cesse de me caresser le bouton, parfois même vous rentrer deux doigts dans ma chatte en plus de la bite de votre mari. Vous me masturbez autant qu’il me baise. Mon regard ne quitte pas le votre, vous me bouffez mes petits seins et j’aime ça. Vous me faite baisez par votre mari et vous vous occupez de moi madame, je suis au bonheur. Je ne vais pas tarder à jouir à se rythme. Vous me frappez légèrement les mamelles, qui ballotent sous les coups de boutoir de Michel. Je jouis de votre mari en plongeant mon regard dans le votre.

Mais juste avant ma jouissance, vous le faites stopper. Vous m’agrippez par la nuque et me faite avancer à quatre pattes. Vous me plaquez la tête au sol, et vous vous asseyez dessus. Vos mains parcours mon dos et remonte mes reins. Vous saisissez une fesse dans chacune et écartée bien en disant :

  • Chéri je t’offre le cul de ma soumise. Défonce le bien comme si c’était le mien !!!

Michel s’approche et vous embrasse à pleine bouche, son gland coulisse déjà dans ma raie culiaire. Déjà sous l’effet de la pression je sens mon anus s’ouvrir. Ça me rassure et me permet de bien me détendre, de plus je sais que je vais pouvoir me faire défoncer correctement sans peur de douleur.

Une fois votre baiser d’amoureux fini, Michel saisi son mat et le présente sur ma petite rosette brune. Une première poussée finie de me dilater, et des la seconde je sens ce pieu m’ouvrir le cul comme j’aime. Je sens toutes les chairs de mon anus s’ouvrir, mon cul gobe ce bienfaiteur en moi. C’est un plaisir infini lorsque je perçois le contact de ses bourses sur mes grandes lèvres. Il reste un moment immobile puis se retire lentement. Une fois dehors j’ai une sensation de vide mais il replonge de plus belle et me laboure l’arrière train comme une vulgaire chienne.

  • oui vas y laboure la mon chéri !!! écoute comme elle couine comme une truie !!!! Elle aime ça la salope, qu’on lui pète le cul hein ? dis le ma soumise que tu aimes que Michel te dilate ton anus !!!!

  • Ouiiiiii madaaaaame !!!!! j’aime ça !!!! j’aime être une enculééééééééée !!!! allez y Michel défoncez moi bien que je reçoive madame correctement ensuite !!!!

  • Putain elle est bonne !!! son cul est tout serré j'vais pas tenir longtemps !!!

  • Oui vas y Mimi jouis dans son cul !!!!

Je hurle de plus en plus fort, je crois atteindre la plus forte jouissance, vous me frappez les fesses en m’insultant de tous les noms. J’éjacule tellement ma jouissance est énorme, Michel se prend plein de jet sur les cuisses. En jouissance mon vagin et mon anus se contracte ce qui achève votre mari, qui a juste le temps de se retirer pour me juter dans mon anus ouvert et sur mon dos. Du jus coule sur ma chatte, ça me provoque des frissons. Michel voyant mon trou toujours béant, replonge son sexe en moi avant de totalement débandé. Pendant ces quelques allez retour, vous léchez le sperme qui me coule sur le dos et remonter vers mes fesses. Votre mari sort de mon cul et vous le prenez en bouche pour le nettoyer. Le mélange de votre soumise avec le nectar de votre homme vous plait.

  • Merci ma chérie pour ce cadeau de mariage !!! ta soumise est vraiment excitante !!

  • Mais de rien mon amour, je suis ravie qu’elle te plaise !!! La prochaine fois elle sera surtout pour moi !!!

  • Je suis toute à vous madame, avec ce genre de chose vous pouvez faire de moi ce que vous voulez !!!

Ma place au sein de la famille

Mon téléphone sonne, je me précipite dessus car cela fait des jours que je suis en manque de vous. La joie m’étreint en voyant « Madame » sur l’écran s’afficher.

  • Oui madame, que puis-je pour vous ?

  • Ramène ta gueule de gouine demain matin !!!

  • Bien madame !

Et vous raccrochez sans aucune explication ni consignes. Ce qui d’ailleurs me mets dans une angoisse folle, car il ne faut pas que je fasse une faute de gout au niveau vestimentaire sinon ma belle soirée en perspective risque de tourner au désastre, ou sinon cela signifie que c’est vous qui m’habillerez.

J’appelle donc mon chef pour poser mon vendredi, à f o r c e il va être de moins en moins conciliant que je le prévienne à la dernière minute à chaque fois, et puis je vais manquer de jours de congé à f o r c e .

  • Il faudra que j’en parle avec maitresse pour trouver une solution !!!! au pire je lui taillerai une pipe de temps en temps !! non mais ça va pas !!!

Je pars dans un fou rire, mais l’idée fait son chemin et ça serait assez excitant d’être la salope du patron. J’en parlerai à maitresse c’est sur maintenant. Apres mon coup de fil au boss, je file donc me préparer pour mon lendemain. Madame veut que je sois parfaite donc je me fais une inspection rigoureuse pour éliminer le moindre poil, le moindre bouton et la moindre rougeur.

J’aime ce moment où je me prépare, pas seulement pour la finalité de la chose, mais par plaisir. Le mien et le votre. Je sais que vous allez me regarder sous toutes les coutures, j’aime cette intrusion dans mon intimité, le fait que rien ne peux vous être caché. Et je prends un grand soin de mon corps car je sais qu’il vous plait. Que mêmes les zones les moins agréables seront observées, léchées et pénétrées, je dois penser également au nettoyage intérieur.

Enfin prête, je file directement me coucher pour avoir le teint frais, mais le sommeil comme d’habitude a du mal à venir, mon cerveau ne cesse d’imaginer des tas et des tas de possibilité. Ma chatte ruisselle, et ma frustration augmente, avec mon interdiction de me soulager, je n’en serais encore une fois que plus réceptive et demandeuse pour madame.

Debout très tôt, je grignote vite fait et me revêts de lingerie sexy, un tanga en dentelle avec son soutien assorti, un pantalon moulant noir, et un chemisier blanc légèrement échancré. Une tenue sage mais très implicite qui montre correctement mes formes.

Je sonne, vous m’ordonnez d’entrée et de vous rejoindre dans la cuisine. Vous m’expliquez le programme.

  • Aujourd’hui nous t’emmenons avec nous à une congrégation viticole. Michel doit y rencontrer beaucoup de personnes et doit faire une très bonne impression, donc tu devras être parfaite dans tout ce qu’on te demandera.

  • Bien madame.

  • Tu seras officiellement la nounou, enfin la bonne à tout faire ! ça te convient mieux comme terme

  • Comme il vous plaira, madame.

  • Déshabille toi que je vois ce que tu as dessous.

Je me retrouve donc en sous vêtement dans la cuisine. Vous avez l’air satisfaite de mes choix. Vous m’ordonnez de rester ainsi pendant que vous allez vous préparez. Au passage vous me glisser un doigt dans la chatte, vous le humer ensuite et me dites que vous raffolez de mon odeur. Et vous partez en souriant en léchant votre doigt recouvert de mes secrétions.

La matinée se passe, je prépare le déjeuner lorsque vous descendez enfin prête pour l’après midi. Vous vous approchez de moi et me glisser encore un doigt et m’embrasser amoureusement. Ensuite me glisser délicatement à l’oreille que vous vous êtes masturbée en pensant à moi, et que la fin de soirée sera douloureusement agréable si vous êtes satisfaite. Et vous redonnez une fois de plus votre doigt à lécher à votre e n f a n t , tout en me regardant.

Le repas passé, Michel arrive. Je me rhabille et nous partons tous ensemble.

Il y a plein de stand de dégustation, nous faisons le tour, Michel parfois parle affaire avec certain viticulteur, quand à vous madame vous pavanez devant les dames de ces négociants, vous croisez certaines de vos amies.

Les heures et les coupes de champagnes s’écoulant, les conversations de madame sont de plus en plus grivoises. Vous en venez même à parler de moi, que vous avez trouvé une perle, qui accepte tout. Une fierté m’envahie et me comble, voilà ce à quoi je suis destinée. J’aime voir et entendre cela de votre bouche, et je continuerai à entretenir ceci.

Vos convives doutant de vos dires vous me demandez d’approcher :

  • Elleana !! viens là !!

  • Oui madame.

  • Trouves Michel et dit lui que je veux que tu le suces et complètement !

  • Bien madame.

Et me voila parti chercher Michel pour le sucer dans un coin du salon.

A mon retour, vos amis ne sont pas convaincu et penses que c’est un coup monté.

  • bon Elleana, ces dames étant sceptiques tu vas aller au toilette des hommes, tu te mets dans la dernière cabine et tu suces tous ceux qui rentrent pendant la prochaine demi heure. Nous guetterons devant la porte.

  • Bien madame.

Je file donc me mettre en place. J’attends 5 minutes avant que la porte ne s’ouvre, un vieux type tout bedonnant rentre et sort son engin minuscule et flasque pour se soulager. J’attends qu’il finisse pour lui demander s’il veut que je lui nettoie sa bite. D’abord surpris, il se jette sur moi en me demandant combien c’est. Pour seule réponse je tends la main vers sa verge et ouvre la bouche. J’enfile dont ce petit asticot dans ma bouche, je tête fort pour ne pas qu’il retombe car il ne rempli vraiment rien de ma bouche. Son odeur d’urine et forte mais je m’applique à ma tache, et je commence à le sentir grossir. Ses proportions sont tout de même minime, mais mon but n’est pas mon plaisir mais plus le votre et le sien. En deux minutes le pauvre se décharge, son gout est acre et je me dépêche d’avaler. Il me félicite sur mes talents de suceuse et me veut savoir s je baise aussi bien, je suis obligé de lui répondre que oui mais qu’à l’heure actuelle il ne connaitra que cela, et qu’il faut laisser la place aux autres maintenant.

  • tu fais ça à tout le monde ?

  • oui, je reste là une demi-heure. Une fois rassasiée je m’en irais.

  • Ok suces moi encore alors !!

  • Non place aux autres, monsieur soyez bon seigneur.

  • Suce encore et je fais passer le message qu’une salope suce aux chiottes.

Personne d’autres n’étant rentré je décide donc de continuer avec lui. Je reprends donc en bouche son sexe, qui cette fois mettra plus longtemps à grossir et à venir, avec toujours le même gout. Pendant cette pipe un autre homme plutôt pas mal fit son entrée, entendant les bruits du vieux porc, il passa la tête et se dernier lui dit d’attendre et que se sera son tour après. Le gros remballe son machin et me dit qu’il va tenir promesse. Satisfaite le beau jeune homme est resté et me demande si ça va. Je lui réponds que oui et que je suis là pour lui nettoyer le sexe s’il le désire. Il s’approche et déballe une belle bête déjà bien bandée. Je l’enfourne et m’applique. Son gout est bon et m’aide à faire passer celui du précédent. Il me caresse doucement les cheveux en me disant des mots doux. Puis sentant son excitation monté, sa caresse devient plus ferme et il m’impose la cadence. Ses mots doux deviennent plus crus. Pour au final me faire baiser la bouche sous les insultes. Il va loin, des larmes coulent, mon maquillage est ruiné, il me gifle, me crache au visage et m’insulte de tous les noms. Ma chatte ruisselle. Il se retire pour éjaculer sur ma gueule de pute, mais j’ai le temps de prendre son jet en bouche et de me remettre sa bite au fond de la gorge. Il me remercie gentiment, ce contraste me déstabilise, tant de v i o l ence et tant de gentillesse me rappelle mon ancien propriétaire. Il me laisse sa carte en disant :

  • tu mérites mieux que de sucer dans les toilettes des vieux porcs. Si ce que je t’ai donné t’intéresse appelle-moi, tu pourras sucer dans des salons de luxe des hommes bien plus distingués.

Se retourne puis s’en va. En sortant il laisse rentrer cinq bonhommes dont mon vieux porc.

  • venez!! elle est encore là la salope, elle va tous nous pomper le dard. Et en plus elle avale !!!

Je me retrouve donc très vite encerclée par ces sexes de toutes formes et toutes odeurs. Je m’applique au mieux, j’en suce trois à chaque fois par alternance mais je ne vais pas assez vite, car ceux qui attendent on le temps de se remettre en forme pour revenir se faire sucer une seconde fois. Je n’en peux plus, j’ai mal à la mâchoire mais surtout j’ai une folle envie de me faire prendre. Et lorsque l’un deux me donne 15 €uros pour me baiser, je suis à deux doigts d’accepter. Mais Michel rentre dans les toilettes et somme tout le monde de finir et de rejoindre ses activités. Et quant à moi il me dit d’aller me remaquiller dans les toilettes des femmes.

Je retourne ensuite vers madame, dont ses amies sont impressionnées mais ne comprennent pas pourquoi je suis à votre service ainsi.

  • Nathalie, bon que tu es une putain pour ton mari on comprend mais qu’elle est l’intérêt pour toi ?

  • Cette putain comme tu dis est une gouine comme jamais j’en ai rencontré et même vous, vous n’êtes pas à la hauteur de ce qu’elle fait.

  • Mais bien sur !!

  • Vous verrez vous entendrez parler de ses prouesses, car je me ferais un plaisir de la prêter à celles qui en valent la peine, n’est ce pas Elleana ?

  • Oui madame, à qui vous voulez !!

  • D’ailleurs, je vous laisse, tout ce champagne m’as donné envie de pisser et ce petit scénario m’as fait mouillé, Elleana vient avec moi tu vas me nettoyer la chatte.

  • Avec plaisir madame !!!

En allant vers les toilettes, je donne la carte de visite du bel homme. Vous me souriez et me dites :

  • très bien. cela fait un bout de temps que je rêve d’entrée dans son cercle privé mais il nous snobe constamment avec Michel. Grace à toi je vais avoir une petite vengeance et tu me donnes de plus en plus de pouvoir et de notoriété à notre famille. Je me félicite de t’avoir pour soumise, tu es un bon investissement.

Vous entrez dans une cabine et laissez la porte ouverte pour que je voie votre jet sortir de vous.

  • ouah ça fait du bien !!! avec toutes les coupes que j’ai bu je suis sur que je pisse du champagne. Allez au boulot et tu me diras si c’est le cas.

Vous vous levez, vous retournez et vous cambrez pour me laisser accès à votre chatte. Je me précipite toute langue sortie pour ne pas laisser tomber la moindre goutte. Effectivement votre gout est assimilé au breuvage de votre après midi. Je passe méticuleusement ma langue entre vos lèvres pour recueillir le restant de votre urine, puis je lèche délicatement vos levres pour en essuyer les éventuellement gouttes. Puis je remonte convenablement de votre bouton vers votre anus. J’enfonce ma langue profondément dans votre cavité vaginale pour bien tout récupérer et par réflexes je fais de même avec votre petit conduit. Je vous entends gémir de plaisir, et je continue donc mon inspection précise dans vos deux orifices. Je sens votre main me caresser les cheveux. Je m’enhardie et saisi vos fesses de chaque mains pour les écarter et me permettre d’enfoncer ma langue encore plus profondement, lorsque soudain :

  • putain connasse, tu devais me nettoyer pas m’exciter, j’ai envie de me faire enculer maintenant.

  • T’as deux minutes pour aller chercher Michel sinon ça va barder !!!!

  • Pardon madame, je pensais que …..

  • Dépêches toi connasse !!!

  • Oui madame

Et je file en courant chercher Michel. Vous en profitez pour lui envoyer un message pour qu’il se cache de moi. Et donc au bout du temps qu’il mettait imparti je reviens bredouille vers vous.

  • madame, je suis désolé je n’ai pas trouvé monsieur, mais pour compenser j’ai ramené une bouteille vide pour satisfaire madame

  • non mais tu me prends pour qui espèce de truie, une vulgaire nymphomane qui se care n’importe quoi dans le cul ? ça c’est bon pour toi !!!! d’ailleurs vas-y mets la toi !!!

  • oui madame

  • et ne jouie pas, si moi je ne peux pas jouir alors tu n’es pas prêt de l’être et puis ce soir attends toi à être punie pour m’avoir frustrée à ce point.

Je pose donc la bouteille au sol, retire ma culotte et m’assoie dessus. Pour ne pas augmenter votre colère, je fais au plus vite, et cela me fait très mal mais je refuse de vous le montrer. Je pense mettre abimé l’anus. Je fais quelques allers-retours jusqu’à ce que les sensations soient plus agréables. Vous m’appuyer sur les épaules pour que j’arrête mes mouvements et surtout pour me faire descendre de plus en plus bas. L’élargissement de la bouteille après le passage du goulot, me donne la sensation de me faire déchirer en deux, des larmes coulent, votre regard est noir de colère, j’ai honte de vous avoir fait cela. Vous me laissez ainsi de longue seconde pour relâcher enfin la pression.

  • Remets-toi en état et rejoins-moi dehors !

  • Bien madame.

Le reste de la journée se passent sans que vous ne vous intéressiez à moi. Je ne suis plus que la nounou. Ce qui me chagrine au plus au point mais j’accepte mon sort car tout cela est de ma faute. Vous augmentez tout de même ma peine en me faisant comprendre que je vais être frustrée un bout de temps. Lorsque nous rejoignons Michel vous lui demandez de vous enculez dans un coin. Nous cherchons donc un endroit dans une cave derrière des tonneaux. Je dois faire le guet avec le petit pendant que je vous entends jouir.

Vous m’avez placé de façon que je voie plus ou moins ce qui se passe et surtout que j’entende votre plaisir et vos dires. Vous remontez votre jupe baissez à moitié votre string, Michel lui baisse le tout, vous attr a p e les hanches et dirige son sexe vers votre chatte.

  • non mimi, encule-moi direct, cette raclure m’a déjà préparé ! et puis on n’a pas le temps alors fait moi jouir et vite mon chéri.

Il s’enfonce donc directement et vigoureusement dans votre séant, on ressent tout le bien que cela vous procure dans vos gémissements. Je mouille de vous entendre ainsi mais je souffre lorsque vous dites :

  • heureusement que tu es là mon chéri, cette pute ne peut pas me satisfaire comme toi !!! vas-y !!!

  • oui ma chérie, t’es bonne !!! elle n’est rien a coté de toi !!!

  • Je jouiiiiiis, putain que c’est bon d’avoir ta bite en moi mon amour. mais éjacule sur le tonneau s’il te plait, je ne voudrais pas sentir le sperme comme elle tout la journée !!!

Une fois votre affaire terminée, vous passez à coté de moi et me dites d’un ton sec :

  • nettoie le sexe de mimi et lèche son sperme. Il ne doit pas rester de traces !!!!

  • bien madame.

Je me retourne donc et m’accroupi devant monsieur pour nettoyer son magnifique sexe, plein de vos sécrétions diverses. Je reconnais avec plaisir, l’odeur et le gout agréable et inimitable de votre cul, ainsi que celui du sexe de Michel. Une fois cela effectué, je me retourne et lèche le tonneau pour récupérer le sperme. Le gout est appréciable mais la texture du bois n’est pas des plus agréables. Comme toute bonne à tout faire, je vérifie que mon travail est correctement fait puis je pars rejoindre mes maitres pour m’occuper de leur progéniture durant leur mondanité.

Ma réputation a du déjà bien faire le tour, vu les différents regards portés sur moi. Voyant cela vous profitez de la situation pour augmenter votre notoriété dans cette société et assoir un peu plus votre domination sur moi. J’entends des brides de négociations dont je dois surement être la marchandise ou du moins un atout. Je trempe ma culotte de plus belle en pensant que vous allez me vendre ainsi pour votre profit personnel. Je suis au bord de la jouissance tellement cela me plait. Je vais subir moult perversion pour que vous puissiez avoir ce que vous désirez. Et cela me comble de bonheur de pouvoir vous apportez cela. Et puis je mérite d’être traitée ainsi vu que je suis votre chose, votre objet, votre pute. C’est ce que je suis et je suis satisfaite que vous me traitiez enfin comme tel. Je vous aime madame.

Je vous vois pavaner avec vos amies réclamant votre savoir faire et demandant ce qu’il vous ferait plaisir pour bénéficier de votre bonne ; Michel lui négocie contrat sur contrat tout en me jetant des regards en coin, je l’entends juste dire que les clauses particulières seront à négocier avec vous.

Nous rentrons assez tard, et pendant le trajet vous me félicitez car je vous ai apporté plus que vous n’espériez mais que je serais tout de même punie pour l’incident de toute a l’heure même si la pénitence sera allégée. Vous me parlez également que nous sommes convier prochainement chez monsieur de Segonzac (le beau jeune homme des toilettes), et que je devrais être parfaite sans aucune fausse note.

Officialisation de mon Statut

Après ma prestation de « la route du champagne », et les avantages que vous en avaient récoltés, vous avez décidé madame de faire perdurer notre relation. Il vous serait regrettable de me perdre. Vous me proposez donc de faire un contrat de soumise. Naturellement j’accepte votre offre. Le dit contrat stipule à peu prés ceci :

  1. Que mon corps et mon esprit sont à Madame, qu’elle peut en faire ce qu’elle veut en tout temps. Je deviens son jouet sexuel.

  2. Je devrais ne rien lui cacher, je devrais dire la vérité sans cesse.

  3. je devrais être toujours de bonne humeur et le démontrer par mes paroles et mes actes

  4. je devrais faire de l’exercice physique minimum 1h/jour pour entretenir ma silhouette.

  5. Mon corps pourra être modifié à la guise de madame, sans que je puisse dire quoique ce soit.

  6. je n’ai plus le droit à aucune possession, tout ce que je gagnerai, hériterai ou concevrai sera de droit la propriété de Madame.

  7. j’accepterai tout attouchement, peu importe de qui. Par contre je devrai refuser toute pénétration ou demande d’exhibition sans sa permission au préalable.

  8. mon corps sera le plus présentable possible, en le lavant, à l'intérieur comme à l'extérieur. En épilant tout poil .Le maquillage, ma pédicure, ma manucure et mon parfum devront être toujours frais.

  9. Mes e n f a n t ements possibles et futurs seront du ressort de madame. Mes progénitures seront, suivant leur appartenance, reconnue par madame en tant que mère ou pas.

  10. Je serais, tel un bien commun, parti intégrante de l’héritage que les successeurs de madame pourraient recevoir.

  11. je pourrais être louée voire vendue si madame en ressentait le besoin.

  12. en contre parti, madame s’engage à subvenir à tous les frais qu’engendreront mon entretien ; logement, nourriture, linge, accessoire, couverture médicale, transport, soirée mondaine au profit de madame etc.….

  13. Je renoncerai à tous mes amis et familles qui ne pourraient comprendre et accepter mon appartenance à madame.

Pour officialiser la chose vous me dites que vous prendrez rendez vous chez un avocat, et qu’il est d’ailleurs spécialisé dans ce genre là. Vous passez donc votre coup de fil et nous irons la semaine prochaine.

Jour J, pour la circonstance, vous m’imposez un tailleur très stricte à porter avec talons et jarretelle. Aucun sous vêtement bien entendu, car vous comptez fêter ça dès la signature. Nous partons donc toutes les deux en laissant Michel garder le petit.

En chemin, vous m’exprimez toute votre joie et votre empressement. C’est la première fois que je vous en joie ainsi, cela me fait énormément plaisir que ce soit du à moi. Je vous trouve radieuse et je me jure de faire mon possible pour que ce jour ne s’arrête jamais.

Nous arrivons chez l’avocat. Vous me glissez à l’oreille que vous êtes trempée et qu’il faudra que je vous nettoie ensuite. L’eau me vient à la bouche. Nous entrons dans un vieil immeuble, les boiseries sont chics etc. L’avocat est un vieux monsieur, limite à la retraite j’ai l’impression, je pensais trouver un jeune pour effectuer ce genre de contrat. Le rendez vous se passe correctement :

  • Mademoiselle, comprenez vous bien les termes de ce contrat et ses conséquences sur votre vie ?

  • Oui monsieur

  • Êtes-vous contrainte ou f o r c é e de signer cet acte ? le faite vous en toute conscience.

  • Je le fais de moi-même monsieur

  • Bien alors inscrivez vos initiales respectives au bas de chaque pages et signer lu et approuvée sur la dernière.

  • Bien maintenant madame parlons de vos honoraires, comme le stipule le contrat je suppose que vous prenez en charge la totalité des frais, les vôtres et ceux de votre soumise ?

  • Bien entendu !

  • Fort bien, voilà donc ma facture et pour la clause particulière ?

  • Pour la clause aucun soucis, Elleana, va s’en chargée !!

Vous me faites un signe de tête vers l’avocat, je me lève donc et comprend que je dois payer avec mon corps. Je fais le tour du bureau, lui pivote pour être en face de moi. Son sexe est déjà sorti mais totalement mou. Je m’accroupi donc entre ses jambes, saisi son appendice entre mes doigts, le regarde puis vous regarde. Encore un signe de tête pour confirmer votre accord. Je me penche alors, me le caresse sur le visage, le renifle, le lèche sur toute sa longueur. Je joue un temps avec avant de l’embrasser et de le gober très dilatement. Je l’entoure doucement avec ma bouche comme une petite chose fragile. Je referme mes lèvres autour de sa base, puis aspire légèrement en remontant. Je fais cela plusieurs fois jusqu'à ce que je sente la vigueur et son s a n g affluer à l’intérieur. Une fois durcie, je me jette littéralement dessus, tout en caressant les deux jolies boules, parsemé de poils blancs.

J’ai ce sexe en bouche, ce sexe d’une personne qui pourrait être mon père voire mon grand père. Mais je ne pense pas à cela et quand bien même j’y penserai, je ne sais pas même pas si cela me poserais un réel problème. Non tout ce que je vois et que je ressens, c’est cette bite, a qui je vais donner du plaisir, et qui j’espère m’en donnera en retour. C’est le plaisir que je procure à ma maitresse en lui offrant un spectacle qu’elle a désiré voir, du plaisir que j’ai à lui obéir. Elle vit ses fantasmes à travers moi, elle me fait faire tout ce qu’elle aimerait faire sans pouvoir le faire.

J’entends le vieil homme, gémir et apprécier mes talents, ce n’est pas mon point fort mais je dois tellement le faire depuis que je suis au service de madame, que mes progrès sont visibles.

L’avocat me fait comprendre d’arrêter en me repoussant par les épaules, puis l’ordre tombe de la bouche de ma Dame :

  • Retire ton tailleur ma chienne !!! je ne veux pas payer le pressing !!

  • Bien madame !

Je commence alors mon effeuillage, je retire ma veste, puis mon chemisier, enfin j’entrouvre la fermeture latérale de ma jupe, quand je m’aperçois que vous avez également écarté vos jambes et que je peux avoir un accès visuel à votre intimité. Votre culotte est tellement tachée de votre nectar qu’elle en devient presque translucide. Le vieil homme lui a baissé son pantalon et son slip au niveau de ses chevilles.

Je me rapproche de lui, lui caresse les cheveux en vous regardant, je presse sa tête contre ma poitrine et il commence à me presser les seins de ses mains. Puis je sens sa langue sur mes mamelons, puis une fois mes tétons durcis je sens ses dents. Il me mordille et cela me chauffe la chatte à un point !!

Je passe une jambe de chaque coté du fauteuil, puis commence à descendre jusqu’à sentir en effleurement le sexe de l’homme de droit. Je saisi son sexe et le maintient pour qu’il ne se dérobe pas sous mon poids. Je m’enfonce. Je me pénètre avec ce sexe en vous regardant. Je gémis. Je m’attèle à monter et descendre pour prendre du plaisir. Votre main madame a ouvert votre blouse, je vois vos seins pointés autant que les miens. Votre seconde main se perd dans votre culotte. Vous vous caressez en me regardant me faire prendre. J’adore.

Je m’applique sur ma tache, mes mouvements sont verticaux en majorité mais de temps à autre je m’enfonce ce sexe à fond et j’ondule du bassin, je tente de me frotter le clito sur le pubis de mon fornicateur. J’entends le papi gémir de plus en plus, il ne devrait plus tarder, et je pourrais peut être profiter de vous avant votre jouissance. Mais l’avocat me repousse, je me relève donc et attend de voir ce qui veut de moi. Il se lève également, me saisi les épaules et me fait pivoter vers vous. Ces mains me penchent sur le bureau, je comprends donc qu’il va me prendre en levrette. Je me laisse faire, je n’ai aucune raison de résister de toute façon ;

Je dois lui obéir vu que vous me l’avait demandé

J’aime la levrette,

Et surtout mon visage est face à vous, et votre corps est à porté de bras dorénavant.

Alors je me laisse faire volontiers. Votre culotte a disparue, je la retrouve négligemment jetée au sol près de votre fauteuil. Vos jambes sont réparties de part et d’autres des accoudoirs, votre bassin et avancé au bord de l’assise. Vos mains s’affairent sur votre corps, en particuliers sur vos seins et sur votre chatte ruisselante. Je vois vos tétons érigés par vos caresses et vos pincements. Je vois vos doigts humides de vos sécrétions, et je les vois faire régulièrement l’aller retour entre votre grotte et votre bouche. J’ai une vue également sur votre petit anus, vous y attarder que peu de caresses, mais je le vois luisant de part votre jus qui coule dessus. Vos effluves m’arrivent jusqu’aux narines et m’enivrent, je n’ai envie que d’une chose là, c’est de pouvoir vous lécher. Je ne m’aperçois même pas que le vieil homme me bourrine déjà la chatte à grand coups de bassin, que mes fesses sont claqués par ses mains, tant je suis obnubilé par vous.

Je suis de plus en plus ravie de constater que je peux subir tout ce que vous voulez tant que je pourrais profiter de vos charmes madame. Pour la première fois de ma vie, je sais que je suis réellement amoureuse de quelqu’un et que je ferais tout pour vous, comme le stipule le contrat que j’honore actuellement.

Je vois votre regard passé de l’homme derrière moi à votre sexe, je vois vos doigts dans votre chatte se caler sur le même rythme que la bite dans ma chatte. Je vois le plaisir que vous prenez puis d’un coup votre regard se pose sur moi et vous parlez :

  • Frappez-la !!!!!

L’homme s’arrête. Je vous regarde incrédule, ais je fais une faute ?

  • Frappez-la je vous dis !!!

Le vieux se retire me redresse, je me retrouve fasse à lui, et je reçois une gifle en plein visage. Je tente de ne pas réagir même si mon premier reflexe serait de lui en mettre une. Je me remets donc fasse à lui le plus dignement possible.

  • Encore !!!!

Ces mots me cinglent aussi fort que la succession de claques que je reçois. Des larmes apparaissent sur mon visage. L’homme me saisi par le coup et me le serre, son regard est devenu dur comme s’il était possédé. Il continue à me gifler tout en réduisant ma capacité respiratoire.

  • Assez !! reprenez et finissez-vous maitre !!

L’homme me rejette sur le bureau, mais cette fois je me retrouve de dos. Il se positionne entre mes cuisses, que j’écarte et relève naturellement. Il passe ses bras sous mes jambes et me saisi par le bassin, et enfonce son sexe directement dans le mien et reprend le rythme qu’il avait avant l’intervention de ma maitresse. Ma tête pend de l’autre coté du bureau, je vous vois vous penchez vers moi. Et vous glissez à mon oreille :

  • tu as bien réagi, ma p’tite pute. Tu es à moi et je ferais passer tous mes caprices sur toi sans avoir f o r c e ment de raison. Tu comprends ?

  • oui madame !

  • tu n’es rien ! tu n’es qu’un objet, une m e r d e !!!! tu le sais n’est ce pas ?

  • oui madame, sans vous je ne suis rien !!

  • je te ferais baiser par des Lords mais par des chiens aussi. Tu seras traitée autant comme une princesse que comme une pourriture. Tu subiras la douceur comme la douleur.

  • Oui madame.

Vous vous relevez et venez positionnez votre sexe au dessus de ma tête, vous me saisissez par les cheveux et collé mon visage à votre sexe.

  • fait moi du bien !!! fini moi correctement !!!

Je me mets donc à l’œuvre, sans grande possibilité de respirer. De votre autre main vous me frappez les seins. Votre jouissance m’inonde le visage, tandis que le vieil homme éjacule au fond de ma jeune matrice de 24 ans.

Je n’ai pas eu de jouissance physique mais je reste ravie de vous avoir fait plaisir, ainsi que le vieil homme. Comme vous m’avez appris, je nettoie le sexe de l’avocat, ainsi que le votre et toutes les taches qui se trouvent sur le bureau ou au sol avec ma bouche ou ma langue.

Une fois tout le monde rhabillé nous quittons le cabinet.

  • au revoir maitre, à la semaine prochaine.

  • Au revoir mesdames

  • Ah oui Elleana, pendant un mois tu vas venir une fois par semaine ici et tu feras ce que monsieur voudra. Tout ce qu’il voudra, je sais ce qui t’attends et je suis d’accord.

  • Bien madame.

Nous quittons donc l’étude.

La soirée

Aujourd’hui madame reçois le coup de fil tant attendu de Mr de Segonzac qui les invite

tout le week end dans sa propriété pour une de ses fameuses soirées, je suis bien

entendue conviée à participer.

Toute la semaine, madame va être au petit soin pour moi, elle me paye tout, la

manucure, l’esthéticienne, le coiffeur, et m’achète des habits. Je me retrouve avec

une magnifique robe fourreau pour la soirée, puis des tas de sous-vêtements sexy. Je

sens qu’il va falloir que je sois parfaite. J’ai même droit à un discours juste avant

le départ pour la maison.

  • bon Elleana !! ce week end va être très importante. Michel et moi attendons ce

moment depuis très longtemps. Grace à toi, nous avons la possibilité d’y participer.

Du coup il ne va pas falloir que tu fasses la moindre erreur, tu vas devoir être

parfaite. Tu devras surement rattrapés les nôtres déjà alors n’en fait pas toi.

  • Bien madame, je serais obéissante à tout vaut souhait.

  • Tu vas devoir surtout faire tout ce que monsieur de De Segonzac attendra de

toi.

  • Bien madame, je dois m’attendre à quoi ?

  • Attends toi à tout, et fait-le mieux que tout le monde, je veux que tout le

monde te désire, que personne ne puisse se passer de toi à la fin du week end.

  • Je serais la plus perverse de toute n’en doutais pas. J’accepterai toutes les

idées émises quelque soit !!!

  • Tu as intérêt car il t’en coutera si nous ne sommes pas rappeler à la

prochaine soirée.

Pour que je sois très réceptive, je fus mise en abstinence toute la semaine. Je

n’avais le droit que de regarder mes maitres faire l’amour et de les nettoyer après

avec ma langue. Cette semaine fut très longue, j’avais hâte d’arriver à la soirée pour

évacuer toute excitation que j’ai du contenir, je voulais jouir, et j’étais prête à

tous pour cela. J’étais réellement à point pour accepter n’importe quoi au bonheur de

ma maitresse.

Nous embarquâmes donc pour le manoir. Le stress de ma maitresse était palpable dans la

voiture. Michel tenta de la calmer et de la rassurer, en la doigtant mais rien n’y

fit. Elle me fit les dernières recommandations, comme quoi je n’avais pas le droit de

parler sans autorisation et que je serais présentée comme une chienne soumise.

Le domaine est immense, peu de voitures sont présentes, nous sommes accueillis sur le

perron par un majordome, qui récupèrent nos manteaux puis nous guident vers la salle

de réception. Monsieur De Segonzac nous accueille, sert la main de Michel, puis fait

un baisemain à madame, et se tourne vers moi en exprimant son ravissement de me voir.

Je me contente d’un semblant de révérence en souriant. Il nous invite à aller nous

servir un verre au bar et à nous détendre en attendant que tous les invités arrivent.

Apres avoir récupéré notre commande nous nous installons dans un petit salon. Monsieur

et madame discutent entre eux, madame semble toujours tendue, pas à l’aise dans ce

monde de bourgeois. J’observe les différentes personnes présentes, essentiellement des

couples, ou des collaborateurs de notre hôte. Tous semblent très fortunés, de bonne

manière, les toilettes de ces dames sont somptueuses et très classes. Il me semble

remarquer quelque personne ayant le même statut que le mien, homme et femme, mais en

très petit nombre par rapport au nombre de convives.

Un serviteur fait le tour des groupes et arrivent vers nous. Il s’éloigne avec madame

quelques minutes puis passe à un autre groupe. Une fois tout le monde arrivé, le

serviteur demande aux invités de passer dans la salle voisine pour diner, tandis que

madame se tourne vers moi et me dit que pendant le repas je devrais me mettre à

disposition du majordome.

Pendant que mes maitres vont se restaurer, je reste, ainsi que neufs autres personnes.

Je comprends alors que nous sommes sept femmes et deux hommes soumis à disposition

d’une trentaine de convives.

Dans la pièce où nous sommes emmenés, on nous donne un « uniforme » ainsi que des

accessoires.

Nous recevons tous le même collier d’esclave, une bande de cuir ornée de clous et d’un

anneau, surement pour nous attachez une laisse. Les filles ont un bustier seins nus en

cuir, se finissant par des jarretelles, des bas coutures et une paire de hauts talons.

Les hommes sont eux équipés d’un harnais en cuir sur le torse d’où une série de

lanière enserre leurs attributs à la manière d’un cock ring.

C’est à ce moment là que je m’aperçois que la soumise officielle de Mr de Segonzac est

en fait un transsexuelle, elle a des seins magnifiques mais elle doit être hormonés

car son sexe et d’un petit gabarit et ne semble pas réagir à l’excitation que nous

ressentons tous, à moins qu’elle n’y soit habituée.

Puis le majordome nous assigne à chacun nos missions particulières, dument choisi par

nos maitres respectifs. L’un des males ne devra copuler qu’avec des soumis ou

soumises. L’autre male, qui débute nous précise t’il, doit sucer ou lécher tout ce que

ses maitres lui demanderont sans bander sinon il sera sodomisé par l’ensemble des

males de la salle en fin de soirée. Pour les femelles les exigences sont variées, une

sera attachée toute la soirée et remerciera tout ceux qui voudront bien s’occuper

d’elle, une devra ne recevoir que dans son cul, une autre devra demander une

correction physique avant, pendant et après chaque rapport, une encore devra lécher au

moins une fois chaque femme, même celles qui ne sont pas lesbienne, une autre devra se

faire lécher toute la soirée par n’importe qui sans ce faire pénétrer jusqu’à ce que

son maitre veuille bien d’elle, et enfin pour moi comme étant nouvelle en ce lieu, je

suis prénommée la reine des abeilles, ce qui signifie que je dois récupérer toutes les

semences versées au cours de la nuit. Tout le monde devra se vider dans ma bouche, et

ceux qui n’auront pu se retenir, je devrais aller chercher le sperme dans l’endroit où

il se trouve. Reste enfin la transsexuelle, qui devra comme d’habitude préparer les «

victimes » de ses maitres.

On nous donne un encas vite fait puis on nous fait attendre dans une petite pièce, que

nos maitres aient fini de manger. Les discussions vont bon train, certains se

connaissent déjà entre nous, dont certain très intimement apparemment. L’autre nouveau

de la soirée vient me parler, celui qui n’a pas le droit de bander. Et j’apprends

qu’en fait la soumission est nouvelle pour lui et un peu f o r c é et qu’il n’est vraiment

pas à l’aise. Il m’explique qu’il est candauliste en fait et qu’il a convaincu sa

femme de se faire prendre par d’autre homme via un site internet.

  • Mais un jour elle est tombé sur une de nos connaissances, le fils de mon

patron et accessoirement un de ses étudiants. Par chantage, il a réussi à la baiser,

puis il a continué. Elle est sous son joug maintenant, il en a fait une débauchée, il

lui impose de plus en plus de chose, et la semaine dernière il m’a fait le sucer

pendant qu’il ordonnait à ma femme de me prendre.

Il m’avoue qu’il a aimé avoir ce sexe en bouche, celui qui faisait tant de bien à sa

femme. Du coup ils ont crus qu’il avait des tendances bi, mais lui a accepté parce que

c’est le seul moyen qu’il a pour profiter un peu de sa femme. Je lui dis donc de faire

comme moi à mes débuts ;

  • de toutes manières, tu y passeras alors autant que cela te soit agréables,

profites un max et ne réfléchit pas à la vision que l’on pourrait avoir de toi. Prends

un pied d’enfer !!!

Enfin le grand moment est attendu, on nous fait entrer dans le grand salon. Les

festivités ont l’air d’avoir un peu débutés, certains ont l’air d’être très vite parti

dans l’excitation. Naturellement nous nous dirigeons vers nos propriétaires. En

arrivant prés de Madame, je vois qu’elle se fait lécher par une amie, une pointe de

jalousie m’étrenne. Elle relève la tête et me complimente sur ma tenue. Son amie voulu

tourner la tête vers moi pour me voir mais elle fut ardemment remis en place par la

main de ma maitresse.

  • As-tu reçu tes commandements Elleana ?

  • Oui madame ! aucune semence masculine ne doit trainer autre que dans ma gorge

!

  • Bien alors au boulot, tourne dans la pièce et fait moi honneur. Je

t’appellerai si j’ai besoin, pour l’instant j’ai de quoi te remplacer !

Michel lui discute avec un homme sur le canapé voisin, surement le mari de la

bouffeuse de minou.

Je fais donc un tour d’horizon de la salle, et m’aperçoit de l’ampleur de ma tâche.

Tous les couples ont surement dus commencer à peu prés au même moment. Je ne pourrais

pas être partout en même, je dois donc trouver une astuce pour remédier à cela. Cela

serait plus simple si j’étais la seule à satisfaire ces messieurs.

Un type me sort de ma réflexion en me tirant par le bras, et en me doigtant la chatte.

Il me regarde dans les yeux et me dit :

  • C’est toi l’abeille ?

  • Oui monsieur c’est bien moi

  • Ta punition si tu ne réussis pas c’est quoi ?

  • Je ne sais pas monsieur mais ma maitresse risque d’être extrêmement fâchée.

  • Tu appartiens à une dame ?

  • Oui monsieur. J’appartiens à madame…

  • T’as gueule, m’en fou. J’ai horreur des femmes dominantes et je déteste les

gouinasses dans ton genre. Une pute comme toi doit appartenir à un mec un vrai.

Et sur ça il me jette v i o l ement par terre. Défait son pantalon et me tends son énorme

sexe. C’est la première fois que je vais toucher un sexe noir et surtout aussi gros.

Je comprends que cet homme est assez v i o l ent et que je ne suis pas dans ses bonnes

grâces. Je me dépêche donc de le satisfaire, pour éviter toutes représailles, car je

n’aime pas la v i o l ence physique, et surtout pour m’en débarrasser au plus vite.

Je m’enfourne donc du mieux que je peux ce sexe en bouche, mais il me bloque la tête,

et me la baise littéralement. Il va loin, me fait mal, me donne des haut-le-cœur. Je

ne vais pas franchement apprécier ma première expérience de la soirée je pense. Tout

ceci est un calvaire pour moi quand enfin il se retire. Il semble toujours énervé, me

contourne, me relève la croupe. Il va me sodomiser sans même me préparer, heureusement

que le plaisir est quasi mécanique chez moi, et donc ma lubrification a commencé.

Celle de l’anus est toujours plus longue, donc je risque de le sentir passé. En plus

de sa taille, je sais qu’il ne prendra pas soin de mon orifice.

Il pose son énorme gland contre ma rosette. Il pousse, m’insulte de tous les noms.

  • Ça ne m’étonne pas qu’une gouine soit si étroite de là. T’as pas l’habitude de

te prendre des queues par là connasse ?

  • Elle est trop grosse monsieur

  • Si tu étais ma pute, tu aurais l’habitude de te la prendre et tu aimerais ça

!!!

  • Des hommes de votre gabarit se font raaaaaare !!!!

Il entre entièrement en moi, elle est vraiment énorme. En temps normal, je suis

bruyante lors d’une sodomie, cela me procure toujours un bien énorme, ça annihile

toute autre sensation ou rébellion, c’est mon talon d’Achille. Une jouissance anale me

rend la plus docile du monde. Celle là, n’est pas celle qui commence le mieux, mais la

taille et la forme de ce sexe n’auront pas trop de mal à venir à bouts de mon

physique. De plus la manière brutale qui la de me baiser attise le feu que j’ai en

moi. J’ai toujours aimé la virilité chez un homme quand il veut dominer sa femelle.

Il me déchire littéralement mais le plaisir prend le pas sur la douleur, il se

déchaine en moi, et je ne fais que hurler de plus en plus.

  • Vas y gueule bien grognasse !!! attire les regards sur toi. Montre à tous et

surtout à ta pute de maitresse que t’es pas à la hauteur !!

  • AAAaaaaahhh

  • Ton cul de vierge me fait venir

Sur ça, il arrête ses mouvements, toujours fiché en moi, se penche et me redresse la

tête par les cheveux pour me parler au creux de l’oreille.

  • Tu les vois tous te regarder là ?

  • Oui

  • Montre-moi ta maitresse !

  • Là bas avec la femme entre les jambes

  • Montre leur ton échec ! tu sens mon sperme se répandre en toi ?

  • Oui, je le sens

  • Tu ne pourras pas le boire celui là, enculée de gouine de m e r d e .

Il me jette le visage au sol, puis se redresse. Son sexe sort de mon orifice

dégoulinant de sécrétions. Je dois réfléchir vite ou je vais décevoir ma maitresse

lorsque j’aperçois le serveur.

  • Eh toi là ramène moi un verre !

Il me tend une coupe de champagne que j’avale cul-sec, puis le pose devant moi, je me

redresse et m’accroupi au dessus. Et là je laisse écouler le sperme de mon anus.

  • Monsieur, je me dois de vous nettoyer le sexe. Aillez l’obligeance de me

fourrer votre énorme bite dans ma p’tite gueule de gouine.

Le type restant médusé par ma réaction, me laisse m’approcher pour un nettoyage en

règle. Regardant l’assistance, et voyant le contentement de ma maitresse, il reprend

ses esprits, retire son sexe de ma bouche, propre comme au premier jour, et me gifle

magistralement. Fière je me redresse et pousse pour évacuer le restant de sperme logé

au plus profond de mon rectum. Après un moment, où je suis sur de ne plus rien avoir

dans mon conduit, je me remets debout, la coupe à la main, je le regarde dans les yeux

et bois le délicieux nectar. Je repose cette dernière sur le plateau du serveur et lui

demande de déposer une coupe vide à coté de chaque couple faisant l’amour, et

j’annonce à l’assemblée que je passerai vider les coupes régulièrement ainsi que les

bouches, chattes et cul qui seront remplis de la même manière. Je regarde ma maitresse

qui a un sourire satisfait.

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